Le secteur des télécommunications en Europe est plongé dans un débat sur l’avenir et la compétitivité. Siguiendo este punto, la consolidation du marché peut influencer la qualité du rouge, les prix pour les consommateurs et d’autres résultats de rendu. Ainsi, les informations d’Ookla sont analysées comme le nombre d’opérateurs dans un marché qui affectent la qualité du rouge et les prix pour le consommateur dans l’ensemble de l’Union européenne ainsi que dans d’autres marchés de hauts revenus.

Nous pensons que la consolidation n’est pas une panacée pour améliorer la compétitivité numérique de l’Europe. Même si la structure du marché et le nombre d’opérateurs influencent la qualité du rouge, la concentration du marché n’est pas le seul déterminant des résultats compétitifs favorables.

Les commerçants de trois opérateurs offrent un meilleur rendu en termes de vitesse de déchargement, mais cela ne se traduit pas nécessairement en prix plus bas pour les consommateurs. De plus, la politique de compétence en Europe doit être adaptée pour prendre en compte les différentes caractéristiques du marché et les dynamiques locales, afin d’appliquer une formule unique.

Transformations récentes en la consolidation de télécommunications

La consolidation du secteur a attiré l’attention grâce aux promoteurs de Mario Draghi. Draghi argumente que la fragmentation et l’inefficacité limitent le potentiel du secteur, suggérant qu’une approche plus consolidée pourrait favoriser l’innovation et la compétitivité mondiale. Ce changement dans la politique de compétence consiste à promouvoir un marché unique numérique en télécommunications, en incitant à la fusion transfrontalière pour créer des opérateurs paneuropéens.

Les grands groupes de télécommunications sont maintenant propriétaires, indiquant que la compétence basée sur les prix a créé un cycle de descente qui décourage l’inversion des réseaux. Une enquête réglementaire plus prospective pourrait améliorer les conditions de concurrence sur les marchés d’Amérique du Nord et d’Asie.

Structure et effets du marché

L’étude utilise l’indice Herfindahl-Hirschman (HHI) pour évaluer la structure du marché et la concentration affectant la qualité du rouge et les prix en Europe et dans d’autres pays de hauts revenus. Les commerçants avec trois opérateurs doivent offrir un rendu de rouge supérieur et une plus grande satisfaction du consommateur en comparaison avec les marchés de quatre opérateurs.

Au cours du deuxième et du troisième trimestre de 2024, les marchés des trois opérateurs de l’UE ont présenté des vitesses de téléchargement moyennes supérieures à 56% sur les marchés de quatre opérateurs. Cependant, la concentration du marché n’est pas un prédicteur robuste de la couverture de la 5G, car les facteurs socio-économiques comme le développement économique et la répartition de la population ont un impact plus significatif.

Compétence en matière de prix et d’effets chez le consommateur

La compétence en matière de prix a permis une diminution notable des prix des données mobiles sur les marchés de quatre opérateurs. Cependant, sur les marchés de trois opérateurs, le coût par gigaoctet de données mobiles est parfois cinq fois plus élevé. Même si la théorie économique suggère qu’une plus grande concentration peut rapporter des prix plus élevés, les résultats empiriques indiquent que les consommateurs sur les marchés de quatre opérateurs rapportent des prix significativement plus bas. Par exemple, les marchés de quatre opérateurs présentent un coût mensuel moyen par gigaoctet de 0,69 $, comparé à 1,66 $ chez les marchés de trois opérateurs.

Impact mondial et comparaisons

En comparant le modèle européen avec d’autres régions, l’Europe a une concentration plus faible que l’Amérique du Nord et l’Asie. Ceci répond à la nécessité d’une approche plus matizada et localisée qui considère les diverses réalités du marché européen.

Même si les grandes fusions peuvent être attractives pour créer des économies d’échelle, l’étude argumente que les réalités du marché sont plus complètes. Une enquête unique ne sera pas suffisante pour améliorer la compétitivité numérique de l’Europe ; il nécessite un ensemble de politiques précises qui fomentent de nouvelles inversions, promouvant l’utilisation partagée des rouges et réduisant la bureaucratie régulatrice.

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