Un 84% des pays espagnols ne sont pas adaptés aux lois antifraude et création et création. Alors je vous dévoile le baromètre sur l’adaptation des pymes espagnols aux lois du groupe Aitana, Opentix.
Cet studio, réalisé en juin et juillet 2024, comprend la participation de 300 professionnels espagnols de divers secteurs, avec près de 250 employés et une présence locale, nationale ou internationale.
Connaissance limitée des nouvelles normes
Les résultats montrent que les personnes interrogées ont une connaissance modérée des nouvelles lois. La Ley Antifraude (Ley 11/2021, du 9 juillet), qui établit des mesures pour prévenir et combattre la fraude fiscale, est bien connue par les 35% des personnes interrogées. Par ailleurs, la Loi de création et de création d’entreprise (Ley 18/2022, du 28 septembre), qui vise à faciliter la création d’entreprise, à réduire les obstacles réglementaires, à combattre la morosité et à favoriser la création d’entreprise, est connue en profondeur par seulement 29% des participants.
Adaptation en cours: Leyes Antifraude y Crea y Crece
En général, seuls les 16 % des entreprises enquêtées répondent à toutes les exigences des ambassadeurs normatifs. Parmi les entreprises qui n’ont pas encore pu s’adapter complètement, le plan de 83 % sera atteint dans les 12 mois prochains.
L’étude motivée par le consultant technologique du groupe Aitana – Opentix révèle qu’une grande partie des entreprises, soit 79 %, considère comme bénéfique l’implantation de ces normes.
En vertu de la Loi Antifraude, les 56 % des personnes interrogées qui connaissent la norme affirment remplir toutes les conditions obligatoires, alors que les 33 % ne s’acquittent que de certains d’entre eux. Un 5% des encuestados ne correspond pas aux exigences et n’a pas de plan défini pour y parvenir.
Respecto a la Ley Crea y Crece, el 55% des professionnels qui connaissent actuellement la norme avec toutes nos exigences obligatoires. Un 36% n’a pas de cumul avec les exigences, mais il a un plan défini pour l’enregistrement, tandis que les 9% n’ont pas d’accord avec les exigences et n’ont pas de plan pour le suivre.
Enfin, en raison de l’espace requis pour s’adapter à ces normes, les 50 % des entreprises perçoivent un espace moyen. Un 31% estime que l’impact sur le temps et le temps est élevé, comme en termes de ressources économiques, et un 19% estime que l’impact sur le temps et le présupposé est insignifiant.